ILS ONT VU, ILS ONT DIT...

Avec ses yeux pétillants de malice, son joli minois, son côté fantaisiste, sa drôlerie, son ingéniosité et beaucoup de tendresse, Annick Roux interprète chansons et textes de Francis Blanche d’une façon sublime et époustouflante avec un talent qui ne s’apprend pas. Si vous aimez Francis Blanche, vous adorerez Annick Roux.
Jacques Roussel  Fréquence Paris Plurielle


Francis Blanche aimait follement les femmes et cela lui a joué bien des tours… Mais le tour le plus tendre, le plus touchant, le plus émouvant aussi, est très certainement celui d’Annick Roux qui lui consacre tout son spectacle.
Dieu que Francis l’aurait aimée, car Annick a vraiment tout pour le séduire ; elle est acidulée, mutine, faussement innocente, délurée et juste grave un instant au détour inattendu d’une phrase… Toute la palette des émotions de Francis passe par ce talent respectueux et admiratif.
Une heure vingt de vrai bonheur à retrouver Francis Blanche dans ce spectacle qui est bien plus qu’un hommage, une complicité totale par delà le temps entre lui et Annick Roux à la gouaille moqueuse et étonnée.
Annick montre crânement la photo de Francis à l’extrême fin de son spectacle pour bien nous dire que la place du cœur est définitivement la place Blanche !
              Christian Freyburger agence internationale de presse


Festival de Montcuq 2008 : 
 Annick Roux entre classe et hilarité : Pour la 2ème soirée, la comédienne et chanteuse Annick Roux nous conviait à une découverte décoiffante de textes et chansons écrits par Francis Blanche, humoriste inspiré et talentueux, « déjanté » dirait-on aujourd’hui, prématurément disparu en 1974. Diction parfaite, voix chaude et toujours bien placée, gestuelle précise, interprétation géniale, Annick Roux fait œuvre de salubrité publique et… hilarante. Francis Blanche nous a légué entre autres une kyrielle de pensée rafraîchissantes, par exemple « je préfère le vin d’ici à l’au-delà », citation qu’on devrait graver à la porte des cimetières. Francis était un sage et on n’apprend pas aux vieux sages à faire des grimaces.
                                    LES MARCHES DU SUD-QUERCY  

 
SUPERBE SPECTACLE DE ANNICK ROUX EN HOMMAGE A FRANCIS BLANCHE : 
Merveilleuses soirées que celles des vendredi 31 mars et samedi 1er avril, à l’Auberge de l’Onde de Saint-Saphorin, où Jacques Wenger avait convié la chanteuse et comédienne parisienne Annick Roux à venir présenter ­ — pour la première fois en Suisse — son récital consacré aux textes et chansons de Francis Blanche.

Spectacle d’une rare qualité, en effet, où l’on apprécia l’humour, les savoureux jeux de mots, mais aussi la profondeur des textes parfois cinglants d’un auteur auquel Annick Roux voue une totale admiration…. C’est tout Francis Blanche qui nous était restitué à travers le superbe spectacle d’Annick Roux, magnifiquement accompagnée, tantôt à l’accordéon, tantôt au piano par Jean-Yves Mullatier.
De là à souhaiter revoir ici la comédienne parisienne, il n’y a qu’un pas : ce sera peut-être pour cet automne…
Ajoutons que le comédien Pierre Gérald, qui était là pour présenter Annick Roux, avait ouvert le spectacle avec quelques-uns de ses savoureux textes.         
                J.L. R. Journal Suisse La Riviera



Pour la Comédie Française, Annick Roux a créé le rôle de Julie Follavoine dans On purge bébé de Georges Feydeau. On a pu la voir également aux côtés de Jean Le Poulain dans le célébrissime Le noir te va si bien. A la grande époque de « Au théâtre ce soir », elle a enflammé les planches de sa rousse chevelure. Elle a aussi travaillé avec Jean-Christophe Averty à la radio (Les Cinglés du Music-hall) et à la télévision. Elle a donné la réplique à Robert Hirsh, Bernard Blier, Roger Pierre et sa silhouette longiligne s’est baladée dans un nombre important de téléfilms et de feuilletons. Rappelez-vous Les hommes de Rose où elle incarnait un chauffeur routier et qui marqua les années 70.
Sa passion pour l’humoriste Francis Blanche l’a entraînée dans un tour de chant. « On connaît Francis Blanche comme comique. Il est célèbre pour ses gags retentissants et pour ses duos avec Pierre Dac. Mais on connaît moins son œuvre littéraire. Il a écrit beaucoup de chansons et de poèmes. D’ailleurs le spectacle alterne chansons et textes. J’ai essayé de montrer les différentes facettes de l’écrivain. On lui doit aussi un roman policier  incroyable, l’Etrange Napolitaine dont la fin est plus qu’étonnante. Molière enfoncé ! »
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